le mardi 17 novembre 2009

Les conditions du développement de la télésanté


Il s'agit de la position émise par le Collectif interassociatif sur la santé (CISS) à l’occasion de l’audition demandée par Monsieur Pierre Lasbordes, député de l’Essonne, dans le cadre de la mission qui lui a été confiée auprès de Madame Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la Santé et des Sports, par Monsieur François Fillon en sa qualité de Premier ministre, visant à favoriser le développement de la télésanté en France.

Cette note abore les points suivants : 
  • L’évolution des prises en charge et les contraintes dans l’organisation du système de santé réclament le développement de la télésanté.
  • Une série de freins doit être levée pour permettre le développement de la télésanté.
  • Des leviers doivent être actionnés prioritairement dans le respect de l’intérêt général et des droits fondamentaux.
"L’acte de télémédecine doit avoir un caractère subsidiaire par rapport à un acte comparable conduit par un professionnel.
Il ne s’agit pas de faire de la télémédecine un acte « supplétif » de l’acte médical lui-même. Ce qui doit conduire à retenir l’acte de télémédecine c’est un progrès dans la qualité, la sécurité ou la coordination des soins et jamais la carence d’une offre médicale, sauf exception. Ce que les patients attendent c’est d’abord une relation médicale reposant sur le dialogue physique avec un professionnel de santé. S’il doit y avoir intervention de la télémédecine, quelque soit sa forme, à l’intérieur de cette relation, c’est pour en améliorer le résultat."

Télécharger la note sur le site du CISS : "Les conditions du développement de la télésanté" (document au format pdf).

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